Carrière de Broussard

Publié le par SYLVIA C

 

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Commissaire de Police devenu Préfet, Robert Broussard est né le 24 avril 1936 à Aulnay-de-Saintonge en Charente-Maritime.

Robert Broussard reste essentiellement célèbre pour avoir mis fin à la dernière cavale de Jacques Mesrine, l'ennemi public n° 1, abattu le 2 novembre 1979 à la Porte de Clignancourt, à Paris alors qu'il était au volant de sa BMW.

Le commissaire principal Broussard était alors le chef de la Brigade de recherche et d'intervention (BRI) de la Préfecture de Police de Paris dont la compétence est limitée à la région parisienne. C'est le commissaire divisionnaire Lucien Aimé-Blanc, chef de l'Office central pour la répression du banditisme (OCRB), service à compétence territoriale nationale, qui a en charge la mission de retrouver Jacques Mesrine.

Lorsque les policiers de Lucien Aimé Blanc repèrent la planque de l'ennemi public n° 1, rue Belliard à Paris, Maurice Bouvier, alors Directeur central de la police judiciaire, confie à la BRI de Robert Broussard, compétente territorialement sur Paris, la mission d'arrêter Mesrine. Maurice Bouvier demande à Lucien Aimé-Blanc de mettre ses hommes à la disposition de Robert Broussard. Alors que Robert Broussard se trouve sur la rampe de sortie du boulevard Ney dans la voiture de commandement de l'opération en compagnie de Lucien Aimé-Blanc et de l'Inspecteur divisionnaire de l'OCRB Emmanuel Farrugia, une camionnette bâchée de la BRI se place dans la circulation devant la voiture de Mesrine. Robert Broussard donne alors le feu vert à ses hommes. La bâche de la camionnette actionnée se lève et trois policiers de la BRI dont deux armés de carabines d'assaut Ruger ouvrent le feu sur Jacques Mesrine. Lorsque Robert Broussard, Lucien Aimé-Blanc et Emmanuel Farrugia, qui ont quitté précipitamment la voiture de commandement, arrivent au niveau de la BMW, tout est joué : l'ennemi public numéro 1 gît, simplement retenu par sa ceinture de sécurité.[1]

Une polémique, développée par la famille et les amis de Jacques Mesrine, s'ensuivit, soutenant que les policiers n'avaient pas exécuté les sommations d'usage avant d'ouvrir le feu et qu'il s'agissait donc d'un assassinat. Cette controverse a été tranchée le 6 octobre 2006 par la Cour de cassation , qui a déclaré irrecevable le pourvoi en cassation de la famille Mesrine suite au non-lieu prononcé le 1er décembre 2005 par la chambre d'instruction de la Cour d'appel de Paris.

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V
A t-il enfin le courage de reconnaître l'assassinat de Mesrine dans ce bouquin ou bien continue t-il de mentir et protéger ainsi le pouvoir de l'époque, qui l'a autorisé à le faire? (c'est dans le<br /> droit Français ça? n'importe qui aurait pris 20 ans pour un truc pareil, mais eux rien...) D'autant plus qu'il a été demandé ensuite aux juges de ne pas poursuivre les flics tueurs (béteille).<br /> Cela s'appelle du totalitarisme, donc la France n'est pas une démocratie puisque le pouvoir peut assassiner ...<br /> Si vous défendez ça, c'est que vous êtes fascistes.<br /> Lâche jusqu'au bout donc :<br /> - Continue de mentir alors que plusieurs policiers de l'époque, qui ont participé à cette exécution publique, le contredisent y compris les tireurs. Il a dit qu'il les croyait ses amis : ils<br /> auraient donc dû mentir comme lui pour l'être !<br /> - Actions illégales pour le localiser : libération d'un prisonnier condamné et couverture d'un casse par la police pour payer un indic.<br /> - Il n'y avait pas de grenades dans la sacoche, trop mince et non déformée, (un des policiers qui a participé l'a dit), mais plutôt un P.A. car Mesrine avait un chargeur adéquat à la ceinture.<br /> - Dans la manière employée : 40 flics contre un seul homme. Tous ces policiers sur-armés ont vraiment dû se sentir menacés par un homme enfermé et attaché dans sa voiture et qui ne pouvait en<br /> aucune manière riposter (donc pas de légitime défense). Il fallait bien ça assurément. Armes et munitions spéciales à fragmentation pour cette opération, montée pour tuer donc, et aussi filmée du<br /> trottoir par un policier, qui devait se trouver là par hasard avec une caméra..., ainsi que de l'intérieur du camion des tireurs. On peut savoir pourquoi ?<br /> - Il parait que ces 2 films ont disparu. Qui les a volés à la police ? Ils sont dans un bon coffre plutôt (par exemple dans celui d'où est venu l'autorisation de tuer Mesrine).<br /> - La balle dans la tête de Mesrine après la fusillade par un flic en 2 roues (juste pour lui en mettre une, comme il l'a dit après) ainsi que dans la tête de Sylvia (Pas de témoin direct);<br /> Raté.<br /> - Un des inspecteurs "invités" par broussard a reconnu que la décision avait été prise de le tuer, chose confirmée par un autre invité (ou le même?) qui a dit à Sylvia qu'il n'était pas question<br /> qu'il s'en sorte. C'est clair pourtant non? Donc c'est bien un assassinat.<br /> - Camion des tireurs enlevé tout suite (broussard a dit 1 heure ...) Pour qu'on ne voit pas ce/ceux qu'il y avait à l'intérieur?<br /> - broussard n'était pas sur les lieux au moment de la fusillade, mais 70m plus loin et sans visibilité sur l'endroit; Il était dans sa voiture avec Aimé-blanc, Pellegrini plus un autre, donc il ne<br /> sait pas comment ça s'est passé.<br /> - On pourrait écrire un livre avec tous les mensonges qu'il a proféré, sans oublier bouvier, pour couvrir ses hommes, lui même en tant que responsable, mais surtout pour couvrir l'élysée ...<br /> - Pour couronner le tout, broussard a été jusqu'à proposer une coupe de champagne à Sabrina, la fille de Mesrine, après avoir fait fusiller son père : difficile de faire plus con et plus<br /> dégueulasse.<br /> Et dire que Mesrine le prenait pour un grand flic; là il s'est planté.<br /> De plus, si ce commentaire ne plait pas à certains, tant mieux. Cela reste un assassinat et il n'y a aucune raison pour que le commanditaire, les flics tueurs ainsi que leurs protecteurs "légaux"<br /> vieillissent tranquilles. Tous ces gens sont connus. Va t-on attendre, comme papon, qu'ils soient trop vieux ou décédés. Pour service rendu à la nation ??<br /> Jusqu'à preuve du contraire donc, cela veut dire que la France n'est pas une démocratie car l'état et ses serviteurs sont au dessus des lois, qu'on impose par ailleurs à la population.
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P
Je pense que s'il n'avais pas tué Mesrine,on en aurait jamais entendu parlé!!!!
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